« Les maladies suspendent nos vertus et nos vices. »
« Plus il entre de plaisir physique dans la base d'un amour, dans ce qui autrefois détermina l'intimité, plus il est sujet à l'inconstance et surtout à l'infidélité. »
« Si le mariage n'a plus le faste et la solennité d'autrefois, il reste un jour unique, une frontière symbolique au-delà de laquelle vous ne serez plus la même. »
« Autrefois, on emmenait sa secrétaire en voyage en la faisant passer pour sa femme ; aujourd'hui, avec le régime des notes de frais, on emmène sa femme en la faisant passer pour sa secrétaire. »
« Dans le monde d'autrefois, on s'efforçait de comprendre ; dans le nôtre, on veut savoir. »
« Les enfants ne possèdent pas les faiblesses et les vices des adultes ; dans l'amour et dans la haine, ils sont plus forts, plus proches et plus purs que nous. »
« Les vertus sont frontières des vices. »
« Les malheureux qui n'ont rien de particulier à vivre, à aimer, à penser, ou à donner, n'ont plus qu'une dernière petite joie dans la vie : les vices des autres. »
« Aujourd'hui, je suis reine. Autrefois j'étais libre. »
« Mieux vaut louer les vertus d'un ennemi que flatter les vices d'un ami. »
« Autrefois, quand on manquait la diligence, on patientait une semaine. Aujourd'hui, on enrage quand on rate l'ascenseur. »
« Ce n'est pas naturellement que les femmes ont de la pudeur et l'on voit bien que cette vertu fut imaginée par les hommes à l'usage de leurs vices. »
« Lorsque tu vois quelqu'un louer en toi des qualités que tu ne possèdes pas, ne crois pas qu'il se gênera pour t'accuser de vices que tu ignores totalement. »
« Les temps changent. Autrefois, c'était l'homme qui décidait. Il donnait la vie, la femme était comme un frigidaire. Enfin, un frigidaire chaud ! Dont l'homme tirait la poignée ! »