« La politique est un passage obligé pour changer une société. »
« Un amour sans lettre d'amour ça ne se peut pas... »
« La destinée ne vient pas du dehors à l'homme, elle sort de l'homme même. »
« La chance de la littérature, c'est d'être associée aux destins de la liberté dans le monde : elle reste une forme fondamentale de contestation et de critique de l'existence. »
« Il faut se ménager des haltes dans le quotidien pour descendre en soi, ou plutôt pour se hisser à soi. »
« Comme il serait préférable que nous comprenions que nous sommes solitude. »
« Seuls les mots de trop signifient quelque chose. »
« A étudier la production des autres, on risque toujours plus ou moins de neutraliser son propre génie créateur. »
« On n'a pas trop d'une vie pour se comprendre. Le défaut, c'est de vouloir descendre en profondeur. »
« Il y a des aveux qu'il ne faut pas faire... C'est quand avouer a l'air d'une vantardise. »
« Toute censure est stupide par essence puisqu'elle qualifie, précise, décuple les élans de la révolution qui la fera sauter. »
« Pour juger quelqu'un comme un génie il faut l'être un brin soi-même. »
« La respiration est le berceau du rythme. »
« La politique vue avec la perspective d'un intellectuel diffère beaucoup de la pratique. Dans un cas, c'est un exercice de la pensée critique, dans l'autre une lutte pour le pouvoir. »