« L'arme la plus puissante entre les mains de l'oppresseur est l'esprit de l'opprimé. »
« Pour s'entendre entre mari et femme, entre collègues, entre amis, avec n'importe qui, entre les peuples, aux conférences de paix, il ne devrait y avoir que ce moyen : le silence. »
« Les humains sont le résultat d'un chemin évolutif d'une exquise complexité, plein de faux départs, d'impasses et d'accidents statistiques. »
« L'âme rassasiée foulera aux pieds le rayon de miel, et l'âme pressée de la faim trouvera même doux ce qui est amer. »
« La vie m'a appris une chose : quand il y a urgence, il faut parfois savoir ne pas se presser. »
« Assiste ton frère, qu'il soit oppresseur ou opprimé. »
« Il est impossible de bien gérer son temps si on ne peut dire à ses collègues ce qu'on a sur le cœur. »
« Les départs donnent souvent l'illusion d'une renaissance. »
« Les départs ne comptent pas, seuls les retours méritent une larme. »
« Il est assez stérile d'étiqueter les gens et de les presser dans des catégories. »
« Avec toutes les promesses que font nos députés, le budget total des États-Unis serait insuffisant pour un seul département français. »
« Les départs devraient être soudains. »
« Quand on veut vivre parmi les hommes, il faut laisser chacun exister et l'accepter avec l'individualité, quelle quelle soit, qui lui a été départie. »
« Les vrais départs, les plus tragiques, sont ceux qui n'auront jamais lieu. »