« Chaque fois qu'on peut dire quelque chose en quatre mots, c'est pas la peine de s'étaler. »
« Une rose ne saurait naître d'un oignon. »
« Les têtes se forment sur les langages, les pensées prennent la teinte des idiomes, l'esprit, en chaque langue, a sa forme particulière. »
« On meurt pour ce qui est fort, non pour celui qui est faible. Mourir pour ce qui est fort fait perdre à la mort son amertume. »
« Je chante pour mon vallon en souhaitant que dans chaque vallon un coq en fasse autant. »
« Je veux bien vieillir en vous aimant, mais non mourir sans vous le dire. »
« Un homme qui devient vieux, ce n'est pas mourir, c'est savoir, c'est prévoir. »
« Je voulais vivre intensement et sucer la moelle de la vie. Et ne pas, quand je viendrai à mourir, découvrir que je n'aurai pas vécu. »
« L'homme est à inventer chaque jour. »
« Dévoré du besoin d'aimer sans jamais l'avoir pu bien satisfaire, je me voyais atteindre aux portes de la vieillesse, et mourir sans avoir vécu. »
« La télévision est aussi le véhicule dématérialisé des émotions qui amplifient et motivent les actions. Chaque nouvel événement doit remplacer les précédents grâce à une charge émotionnelle plus forte. »
« Que nous devons mourir, nous le savons. Ce n'est que de l'époque et du soin d'en retarder le jour que s'inquiètent les hommes. »
« Chaque touffe d'herbes cache un ennemi. »
« Le langage figuré fut le premier à naître, le sens propre fut trouvé en dernier. »