« Ma mère adorait les enfants ; elle aurait donné n'importe quoi pour que j'en sois un. »
« Je ne me plains pas de la presse, soit que je me sois habitué, soit que je me sois résigné. »
« Le savoir-vivre, c'est la façon heureuse de faire les choses. »
« Ne sois pas trop gourmand dans ta quête du bonheur et qu'il ne t'effraie pas. »
« Une femme qui a un amant est une femme heureuse ; une femme qui en a deux fait preuve de beaucoup de tempérament, mais une femme qui en satisfait trois... C'est du commerce ! »
« Sois plus sage que les autres si tu le peux, mais ne leur dis pas. »
« Il est des jours heureux, il n'est point de vie heureuse. »
« Je n'ai pas peur de rendre heureuse la femme d'un ami. »
« Lorsqu'une porte se ferme, il y en a une qui s'ouvre. Malheureusement, nous perdons tellement de temps à contempler la porte fermée, que nous ne voyons pas celle qui vient de s'ouvrir. »
« L'âme-soeur finit malheureusement assez souvent par coucher avec le corps-frère. »
« Les femmes ont à leur disposition deux armes terribles : le fard et les larmes. Heureusement pour les hommes elles ne peuvent pas s'en servir en même temps. »
« L'accouchement est douloureux. Heureusement, la femme tient la main de l'homme. Ainsi, il souffre moins. »
« Il y a la vie telle qu'elle est et la vie telle qu'elle devrait être. Malheureusement, on est obligé de la vivre telle qu'elle est. »
« Le passé m'effraie, l'avenir me fait peur. Heureusement qu'il y a le présent. »