« La notoriété, c'est comme de manger des cacahuètes : quand on commence, on ne peut plus s'arrêter. »
« Qui sait tout souffrir peut tout oser. »
« Une âme contemplative est à charge à tous les désoeuvrés remuants qui couvrent la terre : l'imagination et le recueillement sont deux maladies dont personne n'a pitié. »
« Il y a une jouissance à savoir qu'on est pauvre, qu'on est seul et que personne ne songe à nous. Cela simplifie la vie. »
« Tout le monde fait des bêtises. Le fin du fin, c'est de les faire au moment où personne ne regarde. »
« On n'est pas forcément le père de quelqu'un mais on n'est jamais le fils de personne. »
« Pour prouver que le temps ne peut avoir d'emprise sur elles, les femmes ont décidé que le mot vieillard n'aurait pas de féminin. »
« Quelqu'un dont la conduite est guidée par un désir de récompense n'est pas sincère ! On ne peut mener sa vie comme on gère une boutique. »
« J'ai compris que, même pauvre et nécessiteux aux regards du monde, on peut s'enrichir en Dieu et que ce trésor-là, nul ne peut vous l'enlever. »
« On finit toujours par partir en embrassant la mauvaise personne. »
« Avant les médias, il y avait une limite physique à l'espace qu'une personne pouvait occuper toute seule. »
« Le travail, c'est ce qu'on ne peut pas s'arrêter de faire quand on a envie de s'arrêter de le faire. »
« Le vent des hauts-plateaux souffle où il veut : qui peut lui imposer une direction ? »
« La folie est salutaire pour cela, qu'on devient peut-être moins exclusif. »