« C'est une règle éternelle de morale et de politique qu'il ne faut jamais pousser son ennemi jusqu'au désespoir. »
« Oh ! Pour faire, Seigneur, un seul de tes sourires, Combien faut-il donc de nos pleurs ? »
« Malheur à celui qui ne peut être seul un jour de sa vie sans éprouver le tourment de l'ennui, et qui préfère, s'il le faut, converser avec des sots plutôt qu'avec lui-même ! »
« Cette foule hagarde ! Elle annonce : Nous sommes la triste opacité de nos spectres futurs. »
« Le rêve est bulle De vie Un bien majuscule Utile au chagrin. »
« La main destructive de l'homme n'épargne rien ; il tue pour se nourrir, il tue pour se vêtir, il tue pour attaquer, il tue pour se défendre, il tue pour s'instruire, il tue pour s'amuser, il tue pour tuer ; il a besoin de tout, et rien ne lui résiste. »
« Un grand écrivain se remarque au nombre de pages qu'il ne publie pas. »
« La seule arme qui m'intéresse, c'est le tire-bouchon. »
« Un poème est un mystère dont le lecteur doit chercher la clef. »
« Ce ne sont point les hommes qui mènent la révolution, c'est la révolution qui emploie les hommes. »
« A vingt ans, une femme ne veut épouser que l'homme avec lequel elle pense être heureuse ; à trente ans, elle pense être heureuse avec n'importe quel homme qui voudrait l'épouser. »
« Le plus grand ridicule pour une femme, c'est d'être un homme. »
« La seule arme que je tolère, c'est le tire-bouchon. »
« Il n'y a que deux maux bien réels dans le monde : le remords et la maladie ; le reste est idéal... »