« Il y a quelque chose de calmant dans la philosophie, une manière de parler du vivant comme si on était mort. »
« Rien n'est plus contagieux que la liberté. »
« Peu de livres changent une vie. Quand ils la changent c'est pour toujours. »
« La fin de la guerre c'est la maîtrise d'un bout de terre, la reconnaissance d'un seul maître. »
« Il y a plus de clarté dans les livres que dans le ciel. Il y a plus de clarté dans le sommeil des amants que dans les livres. »
« Dans la mort le chemin devient d'un seul coup si étroit que, pour passer, on doit se laisser tout entier. »
« ... C'est dans l'épuisement que l'on augmente ses forces. C'est dans l'abandon que l'on devient prince, et dans l'éclat de mourir que l'on découvre ce plus noble éclat de l'amour. »
« Il est parfois nécessaire de se taire pour délivrer une parole juste. »
« La vie en société c'est quand tout le monde est là et qu'il n'y a personne. La vie en société c'est quand tous obéissent à ce que personne ne veut. »
« Faire trop longtemps la même chose, au même endroit, à la même heure, cela rend vieux. »
« Une chose prend fin, une autre chose commence et c'est la même qui continue, autrement. »
« Le besoin de créer est dans l'âme comme le besoin de manger dans le corps. »
« ... Ce goût têtu de l'oisiveté - c'est-à-dire de l'amour -... »
« On peut se laisser dépérir dans le manque. On peut aussi y trouver un surcroît de vie. »