« Nous sommes un peu comme des éponges qui aspirons la vie sans le savoir et qui la rendons ensuite, transformée, sans connaître le travail d'alchimie qui s'est produit en nous. »
« Il est également absurde de vivre en perdant de vue le paramètre absolue de la mort que de laisser la pensée de la mort prochaine gâcher mon existence. »
« Dans l'âge mûr, on s'entend mieux à se garder contre le malheur, dans la jeunesse à le supporter. »
« La jeunesse est le temps des accélérations. »
« Les femmes chérissent la mode, parce que la nouveauté est toujours un reflet de jeunesse. »
« La jeunesse est la seule génération raisonnable. »
« Tout le travail de l'amour consiste à oublier d'un être ce qu'on en savait au premier jour. »
« Ce plaisir morose que procure à certaines femmes la pensée de se sacrifier. »
« L'imprimerie est à l'écriture ce que l'écriture avait été aux hiéroglyphes : elle a fait faire un second pas à la pensée. »
« La politique est peut-être le seul travail pour lequel aucune préparation n'est jugée nécessaire. »
« Seul le travail peut pratiquement nous consoler d'être nés. »
« Le travail, ça ne mène à rien, ça tue plus vite ! »
« Tant que dure ta jeunesse, acquiers des choses qui ensuite te consoleront du dommage de ta vieillesse. »
« L'orgueil de son travail rend, non seulement la fourmi, mais l'homme cruel. »