« La mort. L'horreur absolue de la non-existence. La mort ne rentre dans aucun schéma. Il n'y a pas d'explication à la mort. Elle entre, elle vous arrête au milieu d'une phrase : "Non, c'est fini" et claque la porte. »
« Dans ces moments d'intense découragement, une phrase maladroite peut achever les plus vaillants. Un message sincère peut, en revanche, ressusciter les volontés moribondes. »
« Il n'y a pas de bonne cuisine si au départ elle n'est pas faite par amitié pour celui ou celle à qui elle est destinée. »
« Le démocrate exige que tous les citoyens prennent le départ sur la même ligne. L'homme de droite estime qu'on devrait en arrêter quelques-uns en route. L'homme de gauche voudrait qu'ils finissent tous premier. »
« Le moment présent est la piste désignée à tout nouveau départ. »
« L'amour d'un père pour son enfant est voué dés le départ au renoncement, aux déceptions, cela veut dire que les parents doivent grandir avec leurs enfants, en même temps qu'eux. »
« Chaque début d'écriture est un retour à la case départ. Et la case départ, c'est un endroit où l'on se sent très seul. Un endroit où aucun de vos accomplissements passés ne compte. »
« Entre gens de même sincérité, point besoin de serments. Il suffit d'une phrase fermement dite. »
« Un départ, ça ressemble toujours à une désertion... »
« Dès l'arrivée, le départ se profile. »
« Les vrais hommes de progrès sont ceux qui ont pour point de départ un respect profond du passé. »
« Le départ, c'est souvent une pirouette pour s'échapper. Après coup, on trouve toutes sortes de bonnes raisons pour expliquer son geste, se justifier. »
« "Le droit à l'erreur", toute petite expression, tout petit bout de phrase, mais qui te le donnera ? Qui, à part toi ? »
« Les mots me font l'effet d'un pensionnat de petits garçons que la phrase mène en promenade. »