« On parle à une femme, on lui dit des phrases en sachant bien qu'elle ne comprend pas, comme on parle à un chien ou à un chat. »
« Une maman est un bon bol à couvercle. »
« Toutes nos phrases sont dictées par les nécessités et les illusions de notre situation concrète. »
« L'amour d'une maman, c'est la conviction que ses poussins sont des cygnes ; ce qui est la meilleure façon de donner du moral à des enfants qui sont convaincus d'être de vilains petits canards. »
« Ne lutte pas contre le cours des choses, tu ne causeras pas ta propre perte. »
« Si vous faites attention, non à ce que vous pensez mais à la forme de votre pensée, vous vous apercevez que vous faites rarement des phrases complètes. Il y a des morceaux de rêves, un fantasme, un souvenir, des chansons. On a des scies dans la tête. »
« Il y a des phrases qui ne peuvent s'écrire qu'à la main. »
« La tentation d'une belle femme peut causer votre perte - si vous avez de la chance. »
« Les phrases définitives sont quelquefois celles sur lesquelles on revient le plus vite. »
« Vous aussi, humains, il vous arrive à votre insu d'être les propres auteurs de votre perte. »
« Quelques phrases ont la forme d'une chandelle. Elles en ont aussi le pouvoir éclairant. »
« Toutes les idées qui triomphent courent à leur perte, et les autres ne valent que par ce que l'on y aura mis soi-même de fièvre et d'espérance. »
« Les femmes, me semble-t-il, aiment qu'on les capture dans un filet de phrases. »
« Le technique qui consiste à isoler du contexte de l'époque des phrases prononcées il y a quinze ou vingt ans n'est pas honnête. »