« C'est une erreur de la méchanceté humaine de louer toujours le passé et de dédaigner le présent. »
« Garde-toi de donner par force aux enfants l'aliment des études, mais que se soit en le mêlant à leur jeux, afin d'être encore plus capable d'apercevoir quelles sont les inclinations naturelles de chacun. »
« Fais preuve de gentillesse envers tous ceux que tu rencontres, leur combat est peut-être plus dur que le tien. »
« La justice de l'intelligence est la sagesse. Le sage n'est pas celui qui sait beaucoup de choses, mais celui qui voit leur juste mesure. »
« La nécessité est la mère de l'invention. »
« La centralisation, c'est l'apoplexie au centre, la paralysie aux extrémités. »
« On ne doit pas chercher à guérir le corps sans chercher à guérir l'âme. »
« On peut en savoir plus sur quelqu'un en une heure de jeu qu'en une année de conversation. »
« Le premier devoir de l'amitié n'est point de donner de stériles regrets à l'ami disparu, mais de garder la mémoire de ses volontés et d'exécuter ses recommandations. »
« On impose, à distance, plus de respect. »
« La faim est un nuage d'où il tombe une pluie de science et d'éloquence. La satiété est un autre nuage qui fait pleuvoir une pluie d'ignorance et de grossièreté. »
« L'éloignement augmente le prestige. »
« Le vin est le lait des vieillards. »
« La vie, qui a en partage la tempérance, le courage, la sagesse, ou la santé, est plus agréable que celle où se trouvent l'intempérance, la lâcheté, la folie ou la maladie. »