« Dans cette union intense qu'est la prière, Dieu et l'âme sont comme deux morceaux de cire fondus ensemble. »
« On ne peut pas commencer un poème sans une parcelle d'erreur sur soi et sur le monde, sans une paille d'innocence aux premiers mots. »
« Je voudrais rassurer les peuples qui meurent de faim dans le monde : ici, on mange pour vous. »
« C'est le cœur et non le corps qui rend l'union inaltérable. »
« Les idées n'ont pas véritablement de patrie sur terre, elles flottent dans l'air entre les peuples. »
« Les peuples innombrables et les plus puissantes armées ne sont que comme des fourmis qui se disputent les uns aux autres un brin d'herbe sur ce morceau de boue. »
« Les peuples qui n'ont plus de voix n'en ont pas moins de la mémoire. »
« Les peuples ne se guérissent pas avec des remèdes amers, et il est prudent de leur dorer la pilule. »
« Les peuples peuvent aussi porter l'espérance. »
« Chacun a les gris-gris de son âge. Les peuples aussi, sans doute. »
« Il n'est pas deux peuples sur la surface du globe qui soient vertueux de la même manière. »
« Le but du poème est d'achever et d'anéantir le poète. »
« C'est la capitale qui, surtout, fait les moeurs des peuples ; c'est Paris qui fait les Français. »
« L'unique liberté des peuples est celle de changer de maîtres. »