« S'occuper de quelqu'un, c'est une ivresse. Mais ce n'est qu'une phase pour aller ailleurs. »
« Chaque fois qu'un homme meurt, c'est pour lui la fin du monde et le jugement dernier. »
« La mémoire, comme le cœur, se laisse abuser, et souvent pas celui-ci comme de juste. »
« Jamais la mort ne sera aussi belle que la vie que l'on a perdue ! »
« C'est toujours la même chose : nos amours sont sublimes ; celles des autres sont d'ignobles coucheries. »
« Un livre, c'est aussi une présence intime, cette chose écrite par un autre et qui sublime l'insignifiance de vos jours. »
« Plus les plaisirs vous sont petits et rares, moins on se résigne à les lâcher. »
« La mort. Elle est plus forte que toutes les jeunesses du monde. »
« Tout le monde a de bons parents, il suffit de leur parler. »
« Plus un amour est passager plus il semble inhabituel. »
« Les femmes s'accommodent assez bien d'une part de mépris dans leur amour. »
« C'est après sa mort que quelqu'un commence à changer. »
« Il faut toujours vouloir vivre parce que c'est beau aussi. »
« L'habileté que l'on exerce dans l'amour ne vient pas de la ruse, elle vient de la disposition qu'on a d'aimer. »