« Pourquoi hésiter jamais sur notre devoir, quand il se reconnaît d'emblée à ce signe : le devoir c'est ce qui nous embête. »
« L'euro, c'est ultrasimple, c'est comme quand on voyage à l'étranger, en trois jours, on s'habitue à compter dans la monnaie locale. Sauf que là, on reviendra jamais de vacances. »
« Quand on s'obstine dans l'erreur, on finit toujours par ne pas avoir tort. »
« L'homme naturellement ambitieux et orgueilleux ne trouve jamais en lui-même pourquoi un autre lui doit commander, jusqu'à ce que son besoin propre le lui fasse sentir. »
« Je connais mes limites. C'est pourquoi je vais au-delà. »
« Jamais les philosophes ne feront une secte de religion. Pourquoi ? C'est qu'il n'écrivent point pour le peuple, et qu'il sont sans enthousiasme. »
« La vraie marque d'une vocation est l'impossibilité d'y forfaire, c'est-à-dire de réussir à autre chose que ce pourquoi l'on a été créé. »
« Pourquoi, à l'instar des objets, n'existe-t-il pas un bureau des amours perdues et trouvées ? »
« Je ne comprends décidément pas pourquoi il est plus glorieux de bombarder de projectiles une ville assiégée que d'assassiner quelqu'un à coups de hache. »
« Pourquoi faut-il que le beau cache souvent tant de laideurs ? »
« Je ne vois pas bien pourquoi les hommes qui croient aux électrons se considèrent comme moins crédules que les hommes qui croient aux anges. »
« Les seules vacances de l'homme sont les neuf mois qu'il passe dans le sein maternel. »
« La superstition est la poésie de la vie ; c'est pourquoi il n'est pas mal que le poète soit superstitieux. »
« Puisque vous renierez plus tard pourquoi ne pas renier tout de suite ? »