« Consentir à autrui le pouvoir de vie et de mort sur soi, ou se croire si au-dessus de tout qu'on puisse décider du prix de telle ou telle vie, c'est quitter toute dignité et laisser le mal devenir une valeur. »
« Qui ne sait pas lire et vit avec un dollar par jour, ne ressentira jamais les bienfaits de la mondialisation. »
« On peut consentir contre sa volonté. »
« Il n'y a pas de distance entre les êtres. Il suffit de consentir à la connaissance. »
« Le goût que les femmes ressentiront pour l'ignorance des garçons, les hommes ne sont pas sans l'éprouver pour l'innocence des filles. »
« Je fais du théâtre pour ressentir les sensations que la vie ne m'apporte pas... »
« Tant que je pourrai voyager autour de ma bibliothèque, je ne me sentirai jamais tout à fait désespéré. »
« Ne sentirons-nous jamais que le ridicule des autres ? »
« Ecouter de la musique fait ressentir le temps physiquement. »
« Mais moi, vivre à Paris ! Eh ! Qu'y voudrais-je faire, je ne sais ni tromper, ni feindre, ni mentir ; et, quand je le pourrais, je n'y puis consentir. »
« On peut décréter et ressentir sa mort, sans attenter à sa vie. La mort est un état d'âme. »
« La danse est pour les jeunes filles une précieuse initiation à cet art plus subtil : pressentir ce qu'un homme va faire. »
« A certaines heures de la vie, la persécution de l'adversité est si grande que l'on ne peut plus en ressentir les coups. On vit, ou mieux on se laisse vivre comme si la vie s'était retirée de nous et qu'un souffle de mort continuait de nous animer. »
« On aime ressentir l'influence bienfaisante d'un enfant, se mettre à son école, et, l'âme apaisée, l'appeler son maître avec reconnaissance. »