« Pas plus sans doute que l'on aime ou que l'on souffre, il ne faut dire que l'on écrit. »
« Les sentiments que nous feignons, nous finissons par les éprouver. »
« Le Coeur seul peut plaider sa cause. »
« Aussitôt qu'un homme a le nécessaire, il ne lui faut que de l'élévation dans l'âme pour se passer du superflu. »
« L'amour n'est donc pas une condition inévitable de la vie, il n'en est qu'une circonstance, un désordre, une époque... Que dis-je? Un malheur! Une crise... »
« Certains gouvernements, quand ils envoient leurs légions d'un pôle à l'autre, parlent encore de la défense de leurs foyers; on dirait qu'ils appellent leurs foyers tous les endroits où ils ont mis le feu. »
« La plupart des hommes, en politique comme en tout, concluent des résultats de leurs imprudences à la fermeté de leurs principes. »
« Toutes les fois que les gouvernements prétendent faire nos affaires, ils les font plus mal et plus dispendieusement que nous. »
« Vous ne pouvez changer la vision politique des gens avec un film, mais vous pouvez au moins engendrer une discussion politique. »
« L'arbitraire n'est pas seulement funeste lorsqu'on s'en sert pour le crime. Employé contre le crime, il est encore dangereux. »
« Rien de plus absurde que de violenter les habitudes, sous prétexte de servir les intérêts. Le premier des intérêts, c'est d'être heureux, et les habitudes forment une partie essentielle du bonheur. »
« C'est un grand avantage dans les affaires de la vie que de savoir prendre l'offensive ; l'homme attaqué transige toujours. »
« Les dépositaires du pouvoir ont une disposition fâcheuse à considérer tout ce qui n'est pas eux comme une faction. Ils rangent quelquefois la nation même dans cette catégorie. »
« Presque tous les vieux gouvernements sont doux parce qu'ils sont vieux et tous les nouveaux gouvernements durs, parce qu'ils sont nouveaux. »