« Beauté des femmes, leur faiblesse, et ces mains pâles - Qui font souvent le bien et peuvent tout le mal, - Et ces yeux, où plus rien ne reste d'animal - Que juste assez pour dire «assez» aux fureurs mâles! »
« Avoir un système borne son horizon; n'en avoir pas est impossible. Le mieux est d'en posséder plusieurs. »
« L'homme dissipe son angoisse en inventant ou en adaptant des malheurs imaginaires. »
« Il pleure dans mon cœur - Comme il pleut sur la ville; - Quelle est cette langueur - Qui pénètre mon cœur? - O bruit doux de la pluie - Par terre et sur les toits! - Pour un cœur qui s'ennuie - O le chant de la pluie! »
« Monter, descendre, aller, venir, tant fait l'homme qu'à la fin il disparaît. »
« Ah! la grande amour, ça vient, on ne sait pas quand, on ne sait pas comment, et qui mieux est, on ne sait pas pour qui... Alors ce ne sont plus que clairs de lune, gondoles, ivresses éthérées, âmes soeurs et fleurs bleues. »
« - Vous voyez comme c'est intéressant, les faits divers.- Surtout quand ils ont lieu l'été. »
« Aucun métier n'est bien marrant. »
« Si elle se marie, ils pourront se l'accrocher son héritage... »
« De la musique avant toute chose, et pour cela préfère l'impair, plus vague et plus soluble dans l'air, sans rien en lui qui pèse ou qui pose. »
« Par notre manière de penser et nos attitudes, nous construisons notre bonheur ou notre malheur. »
« Toute action est déception, toute pensée implique erreur. »
« - J'ai l'estomac dans les talons.- On aimerait mieux avoir l'étalon dans l'estomac. »
« C'est marrant les cordonniers, ils arrêtent jamais de travailler, on dirait qu'ils aiment ça, et pour montrer qu'ils arrêtent jamais, ils se mettent dans une vitrine pour qu'on les admire. »