« Savoir se retirer à temps indique déjà une grande clairvoyance mais conserver l'estime de ses amis et de ses rivaux quand on est plus au pouvoir, c'est à ce signe qu'on reconnaît les gens dignes de gérer votre destin. »
« Gardez le charme d'une légère timidité sans en éprouver les terreurs, comme certaines femmes savent conserver le ravissant duvet de la pudeur alors qu'elles ne craignent plus l'amour. »
« Une vieille femme qui se respecte et qui désire conserver autour d'elle les affections et les plaisirs permis à son âge, doit soigner sa toilette avec plus de minutie que si elle avait vingt ans, non pas pour s'embellir mais pour se faire supporter. »
« Il faut accepter les déceptions passagères, mais conserver l'espoir pour l'éternité. »
« Dans le père est le pouvoir, c'est-à-dire la volonté et l'action de produire et de conserver, ou de développer l'intelligence de l'enfant. »
« Je ne peux plus changer. Je voudrais bien, je voudrais tellement, mais je ne peux pas. Je ne peux plus me voir. J'ai trop honte! Comme je suis laid! Malheur à celui qui veut conserver son originalité! »
« C'est la littérature qui permet à l'être humain de conserver sa conscience d'homme. »
« Une rupture est toujours douloureuse, au moins permet-elle de sauvegarder l'essentiel: conserver l'estime de l'autre, éviter le pourrissement dû à l'exaspération, raviver le désir qu'on éprouve pour le monde. »
« Voir, comparer, juger, déduire, conserver l'enthousiasme et le sang-froid, soumettre l'inspiration à la patience, voilà le grand secret. »
« Il vaut mieux savoir conserver ses amis que ses biens. »
« Savoir prononcer ce mot (non) et savoir vivre seul sont les deux seuls moyens de conserver sa liberté et son caractère. »
« Monsieur, pour conserver ma gloire et mon estime, - Désobéir un peu n'est pas un si grand crime. »
« Il existe une vieille et sûre recette pour conserver toujours la paix en soi : c'est d'accuser toujours les autres. »
« La jalousie est en quelque manière juste et raisonnable, puisqu'elle ne tend qu'à conserver un bien qui nous appartient, ou que nous croyons nous appartenir; au lieu que l'envie est une fureur qui ne peut souffrir le bien des autres. »