« J'arrive au temps des échéances. J'ai dépensé ma vie qui n'est jamais qu'un prêt et qu'il faut rendre à la mort usurière. »
« Ce n'est pas en suivant les pas d'autrui qu'on arrive à tracer son chemin. »
« On compte plus facilement ses moutons que ses amis. »
« Le mal vient de ce que l'homme se trompe au sujet du bien. »
« Pourquoi est-ce qu'on a envie de pisser toutes les fois qu'on vient de trouver la bonne position pour dormir ? »
« L'argent, ça va, ça vient, mais quand ça vient, ça va. »
« Tu comptes tellement pour moi que je n'arrive pas à le faire à ta place... »
« Les amis se prétendent sincères ; or ce sont les ennemis qui le sont. »
« Les jeunes ont des aspirations qui ne se concrétisent jamais, les vieux ont des souvenirs de ce qui n'est jamais arrivé. »
« Il faut bien souvent, pour servir ses amis, ne croire pas toujours ce qu'ils disent, et ne faire pas toujours ce qu'ils veulent. »
« La guerre n'est pas une maladie... C'est un mal insupportable parce qu'il vient aux hommes par les hommes. »
« Il vaut mieux ne pas trop chercher à savoir d'où vient l'inspiration, sinon on devient systématique. »
« Dites-moi où est l'espérance de l'homme qui arrive à soixante ans sans avoir encore autre chose que l'espérance. »
« Si vous voulez un conseil, je vous recommanderais plutôt les vices. Ils sont plus fidèles que les amis. »