« Les véritables roses laissent leurs pétales sur les pianos et les tapis. Elles ont des épines, trop de feuilles et l'odeur des jardins d'été. Elles accompagnent les baisers. »
« Les oies mangent de la neige. C'est peut-être ce qui les rend si blanches. »
« La Philosophie c'est la réflexion aboutissant à reconnaître sa propre insuffisance et la nécessité d'une action absolue partant du dedans. »
« Très lentement, et souvent trop tard, l'homme commence à reconnaître dans l'animal son témoin, son altérité irremplaçable. »
« L'art difficile d'évoluer est intimement lié à la capacité à reconnaître et utiliser les critiques. »
« Y a-t-il une oreille assez fine pour entendre le soupir des roses qui se fanent ? »
« Je sens dans l'air de grandes mains blanches et avides qui tâchent de saisir à la gorge et de vider de toute vie quiconque cherche à vivre, à vivre au-delà de l'argent. »
« Les roses ne sont pas à plaindre... Au moins, elles ne savent pas, elles, qu'elles se faneront. »
« Une ville ne vaut pas plus qu'un jardin de roses. »
« Si les roses ont des épines, sous les épines se cachent les roses. »
« L'enfance est un papillon qui se hâte de brûler ses blanches ailes aux flammes de la jeunesse. »
« Il reste toujours un peu de parfum à la main qui donne des roses. »
« L'éducation est plus qu'un métier, c'est une mission, qui consiste à aider chaque personne à reconnaître ce qu'elle a d'irremplaçable et d'unique, afin qu'elle grandisse et s'épanouisse. »
« Nous donnons bien souvent de divers noms aux choses :Des épines pour moi, vous les nommez des roses. »