« Victorieux, vaincus, fantassins, cavaliers, - Les voici, maintenant, blêmes, muets farouches, - Les poings fermés serrant les dents, et les yeux louches, - Dans la mort furieuse étendus par milliers. »
« Oh! quel farouche bruit font dans le crépuscule - Les chênes qu'on abat pour le bûcher d'Hercule! - Les chevaux de la Mort se mettent à hennir - Et sont joyeux car l'âge éclatant va finir... »