« Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C'est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l'expulser. »
« Se souvenir, c'est s'écorcher. »
« Il n'y a pas de guerre sans morts. »
« A 20 ans, un mois me paraissait long, aujourd'hui il s'évanouit à peine entamé. Il y a autant de temps qu'il y a d'âges. »
« Les raisons du commerce sont toujours les plus fortes. »
« On ne retient pas la vie qui s'en va. »
« Tout se passe comme si chacun sentait vaguement que le pouvoir n'a plus de pouvoir. »