« Il faut toujours se méfier de quelqu'un qui n'a rien à perdre. »
« Souviens-toi de cuver ton encre. »
« Souviens-toi de la fragilité des choses humaines. »
« Souviens-toi que le livre sacré n'est exalté par-dessus tous les livres que parce qu'il a subi lui-même l'épreuve du temps. »
« - Ah! Jésus, souviens-toi du Jardin des Olives! - Dans ta simplicité tu priais à genoux - Celui qui dans son ciel riait au bruit des clous. »
« Il faut se méfier des femmes qui ne se croient pas irrésistibles : elles font un complexe et c'est beaucoup plus redoutable que les simagrées des pimbêches. »
« L'esprit, souviens-t'en bien, est la mort du génie. »
« Puis une dame, à sa haute fenêtre, - Blonde aux yeux noirs, en ses habits anciens, - Que, dans une autre existence peut-être, - J'ai déjà vue, et dont je me souviens! »
« Mens, mais souviens-toi. »
« Souviens-toi que la douleur élève les âmes vraiment grandes et que ce n'est que le vulgaire qu'elle rend méchant. »
« Il faut se méfier des comiques, parce que quelquefois ils disent des choses pour plaisanter. »
« Je ne me souviens pas d'avoir jamais été fatigué par le travail. En revanche l'oisiveté m'épuise complètement. »
« Il faut se méfier du chagrin des petites filles, il est l'arme secrète des femmes. »
« On doit se méfier des lumières qu'on possède sur soi. La connaissance que nous avons de nous-même, indispose et paralyse notre démon. C'est là qu'il faut chercher la raison pour laquelle Socrate n'a rien écrit. »