« Vous aurez de l'encre noire, des tableaux noirs, des tabliers noirs. Le noir est, dans notre beau pays, la couleur de la jeunesse. »
« Souviens-toi de te méfier. »
« L'esprit, souviens-t'en bien, est la mort du génie. »
« Puis une dame, à sa haute fenêtre, - Blonde aux yeux noirs, en ses habits anciens, - Que, dans une autre existence peut-être, - J'ai déjà vue, et dont je me souviens! »
« Souviens-toi que la douleur élève les âmes vraiment grandes et que ce n'est que le vulgaire qu'elle rend méchant. »
« Mens, mais souviens-toi. »
« Je ne me souviens pas d'avoir jamais été fatigué par le travail. En revanche l'oisiveté m'épuise complètement. »
« Qui sait écrire ? C'est se battre avec l'encre pour se faire entendre. »
« Ecrire et voir, c'est pareil, et pour voir il faut la lumière. Le paradoxe, c'est qu'on peut trouver la lumière dans le noir de l'encre. C'est comme de la nuit sur la page, et c'est pourtant là-dedans qu'on voit clair. »
« Dusses-tu vivre trois fois mille ans et même autant de fois dix mille, souviens-toi toujours que personne ne perd d'autre existence que celle qu'il vit et qu'on ne vit que celle qu'on perd. »
« Ne sois pas déçu en surestimant le bonheur dans le mariage. Souviens-toi des rossignols qui chantent seulement dans les mois du printemps, mais sont généralement silencieux lorsqu'ils ont pondu. »
« Ma petite fille, souviens-toi que dans la vie, la seule chose qui compte, c'est l'argent. »
« Oublie que tu existes. Souviens-toi que tu es. »
« Ecrire. Le plus difficile, c'est de prendre la plume, de la tremper dans l'encre et de la tenir ferme au-dessus du papier. »