« Y a-t-il une oreille assez fine pour entendre le soupir des roses qui se fanent ? »
« Les roses ne sont pas à plaindre... Au moins, elles ne savent pas, elles, qu'elles se faneront. »
« Une ville ne vaut pas plus qu'un jardin de roses. »
« Si les roses ont des épines, sous les épines se cachent les roses. »
« Penser longtemps le texte au lieu de pouvoir l'écrire est le meilleur des tamis. »
« Le lecteur vulgaire s'assied face au texte et il ne voit rien que la sotte apparence des choses. Le critique au contraire se recule et se penche, rien ne lui échappe du contexte. »
« Il reste toujours un peu de parfum à la main qui donne des roses. »
« Le téléphone n'est pas un traitement de texte. Il ne donne au locuteur qu'une seule chance. »
« On ne bâtit rien avec des pétales de roses. »
« Nous donnons bien souvent de divers noms aux choses :Des épines pour moi, vous les nommez des roses. »
« Il y a des femmes qui sont comme le bâton enduit de confiture de roses : on ne sait pas par quel bout les prendre. »
« Le parfum de mille roses ne plaît qu'un instant ; mais la douleur que cause une seule de leurs épines dure longtemps après la piqûre. »
« Le personnage est d'abord un texte. »
« Mieux vaut respirer que de cueillir les roses,Et les plus beaux jardins sont où l'on n'entre pas. »