« Le fleuve le plus large, on le passe à la source. »
« Jamais les philosophes ne feront une secte de religion. Pourquoi ? C'est qu'il n'écrivent point pour le peuple, et qu'il sont sans enthousiasme. »
« Il n'est pire misère, parce qu'on veut faire le bonheur d'un peuple, que de croire en lui. »
« Le peuple reçoit la religion, les lois, comme la monnaie, sans l'examiner. »
« Le moyen de s'ennuyer est de savoir où l'on va et par où l'on passe. »
« Plus on connaît, plus on aime. »
« L'âme de l'homme est comme un marais infect : si l'on ne passe vite, on s'enfonce. »
« Le passé a des blancs qui sont noirs. »
« On ne connaît la loi que lorsque les gens l'enfreignent. »
« Tout ce qu'on ne connaît pas paraît magnifique. »
« L'amant ne connaît que son désir, il ne voit pas ce qu'il prend. »
« Le plus grand soin d'un bon gouvernement devrait être d'habituer peu à peu les peuples à se passer de lui. »
« A quoi reconnaît-on que l'on est amoureux ? C'est très simple. On est amoureux quand on commence à agir contre son intérêt. »
« Cueille dès maintenant les fleurs de la vie car la mort est si pressée que le frêle bouton qui s'ouvre aujourd'hui aura bientôt trépassé. »