« Les épouses sont pour les jeunes hommes des maîtresses, pour les hommes d'âge mûr des compagnes, et pour les vieillards des gouvernantes. »
« Il pense par contagion et attrape une opinion comme un rhume. »
« Ce qui fait que les amants et les maîtresses ne s'ennuient point d'être ensemble, c'est qu'ils parlent toujours d'eux-mêmes. »
« Si l'expérience servait à quelque chose, au bout d'un moment, on arrêterait de s'enrhumer ! »
« Un rhume de cerveau fait bien plus souffrir qu'une idée. »
« Les Anglais sont un peuple d'une ténacité presque surhumaine. Ils ne s'avouent jamais vaincus. Et ils finissent toujours par ne pas l'être. »
« S'il fallait se fier à ses poèmes pour savoir ce qu'un poète pense, on se ferait de drôles d'illusions. »
« A moins d'avoir une ambition extraordinaire, une femme ne devrait pas trop se soucier de faire carrière. Ça peut marcher jusqu'à un certain point, mais il y faut une ambition surhumaine. »
« A partir d'un certain âge, nos amours, nos maîtresses sont filles de notre angoisse. »
« Les circonstances sont les maîtresses des faibles et les outils des sages. »
« Le pauvre accepterait bien le rhumatisme du riche. »
« Les amants ne voient les défauts de leurs maîtresses que lorsque leur enchantement est fini. »
« Les maîtresses s'en vont au hasard des amours, Une femme s'en vient au détour d'une vie. »
« L'amour a des tendresses que nous n'apprenons point qu'auprès de nos maîtresses. »