« La ponctuation c'est le sel de la phrase. »
« Les oies mangent de la neige. C'est peut-être ce qui les rend si blanches. »
« Le livre est un maître qui ne se lasse point ; il est à la disposition du lecteur, pour se répéter, puisque celui-ci n'a qu'à relire la phrase mal comprise. »
« Y a-t-il une oreille assez fine pour entendre le soupir des roses qui se fanent ? »
« Je sens dans l'air de grandes mains blanches et avides qui tâchent de saisir à la gorge et de vider de toute vie quiconque cherche à vivre, à vivre au-delà de l'argent. »
« Les roses ne sont pas à plaindre... Au moins, elles ne savent pas, elles, qu'elles se faneront. »
« Une ville ne vaut pas plus qu'un jardin de roses. »
« L'enfance est un papillon qui se hâte de brûler ses blanches ailes aux flammes de la jeunesse. »
« Il reste toujours un peu de parfum à la main qui donne des roses. »
« Toute phrase doit être en soi un monument bien coordonné, l'ensemble de tous ces monuments formant la ville qui est le Livre. »
« Nous donnons bien souvent de divers noms aux choses :Des épines pour moi, vous les nommez des roses. »
« C'est une grande force pour une phrase que le fait de sentir ou de ne pas sentir un homme derrière elle. »
« Le parfum de mille roses ne plaît qu'un instant ; mais la douleur que cause une seule de leurs épines dure longtemps après la piqûre. »
« Il y a des femmes qui sont comme le bâton enduit de confiture de roses : on ne sait pas par quel bout les prendre. »