« L'idée de la mort n'est supportable qu'aux imbéciles. »
« Entre malheureux, la sympathie très vite se crée. »
« Quoi qu'on fasse ou décide on se trompe toujours. »
« L'homme doit prendre conscience de ses abîmes pour mieux les contourner. »
« Les livres, c'est comme l'amour, on ne vous en rend rien. »
« Le bonheur ou le malheur ne sont que des étiquettes que l'on met sur des réalités mouvantes, insaisissables. »
« Les mots ont trop servi, on ne sait plus les utiliser. »
« Comme le vent abat un chêne, une simple phrase détruit un rêve. »
« Le métier de journaliste ressemble assez à celui de couturier : de fil en aiguille, plus on avance sur un sujet, plus il change d'allure. »
« A vouloir écarter le pire, on chasse aussi le meilleur. C'est aussi évident qu'à trop craindre la mort on oublie de vivre et qu'à la fin on meurt quand même. »
« La violence, c'est un manque de vocabulaire. »
« C'est l'inconnu qui m'attire. Quand je vois un écheveau bien enchevêtré, je me dis qu'il serait bien de trouver un fil conducteur. »
« Voyager est un travail qu'on fait tout seul. »
« Tu as deux poumons pour respirer, deux yeux pour voir, deux jambes pour marcher mais tu n'as qu'un cœur pour aimer, prends en soin... »