« Il reste toujours un peu de parfum à la main qui donne des roses. »
« Qui veut de la cohérence? Les imbéciles et les doctrinaires, les ennuyeux qui poussent leurs principes jusqu'à la fin amère de l'action, jusqu'à la reductio ad absurdum de leur mise en pratique. Pas moi. »
« On ne bâtit rien avec des pétales de roses. »
« Nous donnons bien souvent de divers noms aux choses :Des épines pour moi, vous les nommez des roses. »
« Il y a des femmes qui sont comme le bâton enduit de confiture de roses : on ne sait pas par quel bout les prendre. »
« Le parfum de mille roses ne plaît qu'un instant ; mais la douleur que cause une seule de leurs épines dure longtemps après la piqûre. »
« Je suis un vieux boudoir plein de roses fanées, - Où gît tout un fouillis de modes surannées, - Où les pastels plaintifs et les pâles Boucher, - Seuls, respirent l'odeur d'un flacon débouché. »
« Mieux vaut respirer que de cueillir les roses,Et les plus beaux jardins sont où l'on n'entre pas. »
« La Côte (d'Azur) est la serre où poussent les racines. - Paris est la boutique où l'on vend les fleurs. »
« Désespoir, amour, gaieté. Qui a ces trois roses enfoncées dans le cœur a la jeunesse pour lui, en lui, avec lui. »
« Quand les roses fleurissaient, sortaient les filles - On voyait dans tous les jardins danser les jupons - Puis les roses se fanaient, rentraient les filles - Pour passer dans leurs doux écrins le temps des flocons. »
« Peut-il y avoir sur terre un endroit où les choses sont à l'envers, où les arbres poussent vers le bas tandis que la pluie, la grêle et la neige tombent vers le haut ? L'idée folle selon laquelle la terre est ronde est la source de cette légende imbécile. »
« ... La foi est la première vertu, et l'espérance n'est que la seconde; car il faut commencer sans aucune espérance, et l'espérance vient de l'accroissement et progrès. Les projets réels ne poussent que sur l'oeuvre. »
« Et ses yeux n'ont pas vu, présage de son sort, - Auprès d'elle, effeuillant sur l'eau sombre des roses, - Les deux Enfants divins, le Désir et la Mort. »