« L'homme du siècle demande des lois et des institutions de convalescence, qui le brident sans le briser, qui le conduisent sans l'écraser. »
« Ah ! Les petites maladies de l'enfance qui vous laissent quelques jours de convalescence, à lire au lit des Bugs Bunny ! Hélas, quand on vieillit, les plaisirs de la maladie deviennent rares. »
« De temps à autre, la mode de l'aphorisme revient chez les philosophes. Les aphorismes sont les hirondelles de la dialectique. »
« Convalescence: état de béatitude fort enviable, pour peu qu'il ne soit précédé d'aucune maladie. »
« Une convalescence est comme un fruit qui mûrit... »
« Un rédacteur publicitaire, c'est un auteur d'aphorismes qui se vendent. »
« Il n'est pas de sentences, de maximes, d'aphorismes, dont on ne puisse écrire la contre-partie. »
« Comme les mythes et les suppositoires, aphorismes et maximes ont leur temps. Il faut s'en pénétrer avant qu'ils ne se défraîchissent. »
« Il y a des médecins si ennuyeux qu'ils vous gâtent une convalescence. »
« Le deuil est une convalescence. Le repos de l'être absent devient notre propre repos. Il y a de la contagion dans la mort. »
« L'homme pense par aphorismes. »
« Une femme qui a un enfant, c'est neuf mois de maladie et le reste de sa vie une convalescence. »
« Prononcer vingt-cinq aphorismes par jour et ajouter à chacun d'eux: «Tout est là.» »
« L'ennui... Cette convalescence incurable. »