Paul Claudel est un dramaturge, poète, essayiste et diplomate français, né le 6 août 1868 à Villeneuve-sur-Fère dans l'Aisne et mort le 23 février 1955 à Paris. Il fut membre de l'Académie française.
« Où est le droit il n'y a plus d'affection. »
« A mesure que je m'en éloigne, ma vie passée se dessine comme une île. »
« On ne se prépare pas à la mort. On se détache de la vie. »
« Fais-leur comprendre qu'ils n'ont d'autre devoir au monde que de la joie ! »
« Il faut dire son chapelet quand on ne dort pas et ne pas ajouter la nuit - Au jour à qui sa propre malice suffit. »
« Ce n'est pas le cierge qui fait la flamme, c'est la flamme qui a fait le cierge. »
« ... à celui qui souffre, les consolations d'un consolateur joyeux ne sont pas de grand prix, et son mal n'est pas pour nous ce qu'il est pour lui. »
« Il y a des gens qui ne sont point persuasifs mais contagieux. »
« Quelqu'un qui admire a toujours raison. »
« Quand je serai mort, on ne me fera plus souffrir. »
« N'applique pas à la vérité l'oeil seul, mais tout cela sans réserve qui est toi-même. »
« Le fruit est pour l'homme, mais la fleur est pour Dieu et la bonne odeur de tout ce qui naît. »
« Rien n'est plus dangereux qu'une idée quand on n'en a qu'une. »
« Le pire n'est pas toujours sûr. »