« Nos maladies nous ressemblent. »
« Nous vivons dans un monde où des activités de plus en plus nombreuses et pressantes concurrencent toujours plus durement celle qui consiste à se préoccuper de la poésie, que ce soit dans les livres ou dans le rapport à soi. »
« Il te faudra franchir la mort pour que tu vives. »
« L'amour maternel est le plus près de la miséricorde divine. »
« C'est par l'attention que l'esprit parvient à se former des notions vraies des choses. »
« C'est effrayant de vivre avec des gens qui vous connaissent. Ils vous empêchent de changer en ne s'apercevant pas que vous êtes un autre. »
« Amis ou ennemis, il est toujours bon de bien connaître ceux qu'on aime, et meilleur encore de mieux connaître ceux qu'on aime moins. »
« Fils du savoir, le péché est le père du savoir. »
« Le bonheur et le malheur sont toujours relatifs à quelque situation antécédente dont on conserve le souvenir. »
« Les enfants sont des entraves quand ils sont jeunes. Plus tard, ils nous quittent. »
« La connaissance est le dernier recours de la nostalgie. »
« La passion ne peut déboucher sur le malheur ou le bonheur ; elle est sa propre fin. »
« C'est peu de chose qu'un homme et le meilleur se dégoûte de lui-même quand il se mesure à l'aune de la vérité. »
« Il n'est plus de désert puisque tout est en nous. »