« Ce qu'il y a devant nous et ce que nous laissons derrière, ceci est peu de chose comparativement à ce qui est en nous. Et lorsque nous amenons dans le monde ce qui dormait en nous, des miracles se produisent. »
« Celui qui récompense plutôt le mal que le bien, est indigne de vivre tranquillement. »
« Les rats nous observent dans l'ombre de leurs égouts. Ils se lissent les moustaches de joie car ils n'ignorent pas que notre civilisation fermera bientôt son guichet. »
« Le nombre des différences, soit physiques, soit morales, qui se remarquent entre l'homme et les animaux mamellés, est beaucoup plus grand que la somme de leurs ressemblances. »
« Je suspecte la mort d'être infiniment plus fidèle qu'une chienne, qu'une brosse à dents ou qu'une femme. »
« Les chevaux barbas ou de Barbarie diffèrent des arabes non par la taille, qui est à peu près la même, mais par la croupe, qui est un peu plus longue... On distingue facilement un cheval anglais d'un barba par les oreilles, qui sont plus longues. »
« La valeur d'une personne se mesure non pas à la quantité des ses actes mais au degré d'amour et de persévérance qu'elle met pour les accomplir. »
« Lorsqu'elle joue ou qu'on la caresse (la marmotte), elle a la voix ou le murmure d'un petit chien ou le ragoulement d'un chat. »
« L'indépendance du gouvernement et les droits politiques font les peuples; la langue et l'origine commune font les nations. »
« Chaque jour je t'aime davantage, aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain. »
« Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, - Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs - Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille - Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants. »
« La nature est éternellement jeune, belle et généreuse. Elle verse la poésie et la beauté à tous les êtres, à toutes les plantes, qu'on laisse s'y développer à souhait. Elle possède le secret du bonheur, et nul n'a su le lui ravir. »
« Pour avoir l'air d'un Chinois en Chine, il ne faut jamais rougir. »
« Le but de la société humaine doit être le progrès des hommes, non celui des choses. »