« Prolonger des adieux ne vaut jamais grand chose ; ce n'est pas la présence que l'on prolonge, mais le départ. »
« Mais viendra le jour des adieux, - Car il faut que les femmes pleurent - Et que les hommes curieux - Tentent les horizons qui leurrent! »
« Prolonger les adieux ne vaut jamais grand-chose; ce n'est pas la présence que l'on prolonge, mais le départ. »
« Automne, automne, adieux de l'Adieu! - La tisane bout, noyant mon feu; - Le vent m'époumone - A reverdir la bûche où mon grand cœur tisonne. »
« Les adieux ne sont jamais éternels. »
« Les adieux ressemblent à des oiseaux qui apprennent à voler. »
« Car l'on sait bien que l'amour ignore toujours sa propre profondeur jusqu'au jour des adieux. »
« Quand on a fini de jouer soi-même les premiers rôles, on veut donner des leçons et diriger les jeunes acteurs. C'est le geste des adieux! »
« Tous mes jours sont des adieux. »
« Avant tous mes Adieux à la vie, à l'amour, - Qui sont la même chose, et pour le même jour, - J'en dois à l'art de plaire, ainsi qu'à la jeunesse: - Et je devrais en faire à la tendresse; - Mais je laisse mon cœur aller tant qu'il pourra. »
« On doit à chaque fois écrire comme si l'on écrivait pour la première et la dernière fois. Dire autant de choses que si l'on faisait ses adieux, et les dire aussi bien que si l'on faisait ses débuts. »
« Lorsque Dieu veut instruire de leur néant les idolâtres d'eux-mêmes, il se contente d'éterniser les adieux qu'ils disent à leur moi. »
« Que des noeuds mal attachés - Dévoilent pour nos péchés - Tes deux beaux seins, radieux - Comme des yeux. »
« Anges purs, anges radieux, - Portez mon âme au sein des cieux! »