« Nous ne pouvons pas tout ce que nous voulons, mais il reste à vouloir tout ce que nous pouvons. »
« Les rats nous observent dans l'ombre de leurs égouts. Ils se lissent les moustaches de joie car ils n'ignorent pas que notre civilisation fermera bientôt son guichet. »
« Le nombre des différences, soit physiques, soit morales, qui se remarquent entre l'homme et les animaux mamellés, est beaucoup plus grand que la somme de leurs ressemblances. »
« Je suspecte la mort d'être infiniment plus fidèle qu'une chienne, qu'une brosse à dents ou qu'une femme. »
« Les chevaux barbas ou de Barbarie diffèrent des arabes non par la taille, qui est à peu près la même, mais par la croupe, qui est un peu plus longue... On distingue facilement un cheval anglais d'un barba par les oreilles, qui sont plus longues. »
« Lorsqu'elle joue ou qu'on la caresse (la marmotte), elle a la voix ou le murmure d'un petit chien ou le ragoulement d'un chat. »
« Je ne connais que trois manières d'exister dans la société: il faut y être mendiant, voleur ou salarié. »
« La guerre est l'industrie nationale de la Prusse. »
« Talleyrand vendrait son âme au diable, et il aurait raison, car il troquerait son fumier contre de l'or. »
« Allez dire à ceux qui vous envoient que nous sommes ici par la volonté nationale et que nous n'en sortirons que par la puissance des baïonnettes. »
« Heureux les princes qui souffrent un conseil amer. »
« Je deviens trop vieux pour user mon reste de forces à des guerres. »
« On ne connaît pas toute la puissance de ma laideur. »