« C'est une consolation de partager le même malheur et de ne pas être seul à souffrir. »
« On nous dit qu'il ne faut pas dormir avec la femme de ses amis. Bon. Mais alors... Avec qui ? »
« Le malheur d'autrui nous console de notre propre malheur. »
« L'histoire est un moyen d'organiser le passé pour l'empêcher de trop peser sur les épaules des hommes. »
« Un homme voudrait que sa femme ait assez d'esprit pour apprécier son intelligence et soit assez sotte pour l'admirer. »
« Comprendre c'est compliquer. - C'est enrichir en profondeur. - C'est élargir de proche en proche. - C'est mêler à la vie. »
« La jouissance empêche la procréation. »
« Chaque fois que je photographie une femme, j'ai l'impression de faire reculer les frontières de la mort. »
« Il n'y a rien de vivant dans une cellule sauf l'ensemble. »
« On ne se lasse pas de changer les institutions, ne pouvant changer les hommes. »
« Pour le Français, tous les professeurs sont bons, sauf ceux qui furent ou sont dévolus à ses enfants. »
« Chez un grand peuple dont les institutions sont fixes, l'éducation doit-être en harmonie avec les institutions. »
« Bien sûr qu'il y a des gens honnêtes, sincèrement droits, sur lesquels on peut compter jusqu'à la mort. Mais ils ne sont pas drôles. Tandis qu'une crapule... »
« Le drame des dictatures, c'est qu'elles donnent toute licence aux malades mentaux, aux mégalomanes, aux méchants, aux malhonnêtes gens d'aller jusqu'au bout de leur folie, de leur mégalomanie, de leur méchanceté, de leur malhonnêteté. »