« Le fils suit la femme, la fille suit le mari. Ils laissent les deux vieux diables auxquels personne ne fait attention. »
« Autrefois, quand elle était gênée, une jeune fille rougissait. Aujourd'hui quand une jeune fille rougit, elle est gênée. »
« Noble et brillant auteur d'une triste famille, - Toi, dont ma mère osait se vanter d'être fille, - Qui peut-être rougis du trouble où tu me vois, - Soleil, je te viens voir pour la dernière fois. »
« Montluçon, tu me plais, - J'aime beaucoup tes filles, - Montluçon, je t'en prie, - Retire ta cédille. »
« Oh, quelle belle leçon que de toujours regarder la belle-mère avant d'épouser la fille... »
« Les hommes publics sont comme les filles publiques, incapables de prendre leur retraite à temps. »
« Il faut apprendre à sa fille que l'existence est une suite de déceptions qu'on doit, pour les autres et pour soi-même, supporter dignement. »
« Il est impossible à une personne de s'intéresser vraiment à une autre pendant plus d'un quart d'heure. »
« Aujourd'hui, à quinze ans les petites filles sont des femmes. Tout le monde le sait, sauf les mères ! »
« Dans toutes vos liaisons amoureuses, préférez plutôt les femmes mûres aux jeunes filles... Car elles ont une plus grande connaissance du monde. »
« Filles, voyez l'épi de blé. Quand il est beau, il baisse la tête. »
« Jeune fille. Fraîche personne du sexe ferme, vouée à une conduite désordonnée et à des vues qui pourraient pousser jusqu'au crime. »
« On ne reçoit pas la sagesse, il faut la découvrir soi-même, après un trajet que personne ne peut faire pour nous, ne peut nous épargner. »
« La vie est belle lorsqu'on embrasse une fille. Mais d'un autre côté, la vie est dégueulasse. Il y a trop de mensonges dans le quotidien. Alors, il faut savourer chaque baiser, l'étirer, le prolonger, le goûter le plus longtemps possible ! »