« Pense avant de parler et pèse avant d'agir. »
« Le vrai reportage gonzo exige le talent d'un maître journaliste, l'oeil d'un photographe artiste et les couilles en bronze d'un acteur. »
« On va toujours, en fin de compte, vers où l'on pèse. »
« Un animal, c'est de la vie enveloppée de fourrure ou d'écailles, habitée par l'inquiétude, capable oh combien capable de tendresse, de force, de courage et de peur. »
« Au bout de combien de temps oublie-t-on l'odeur de celui qui vous a aimée ? Et quand cesse-t-on d'aimer à son tour ? »
« Combien faudra-t-il ajouter de siècles à ceux qui sont derrière nous pour ne plus avoir honte de nos sensations ? »
« Combien se tuent qui n'ont rien d'autre sous la main pour embêter leur famille. »
« Il est curieux de voir combien l'excellence adopte fréquemment les manières simples, alors que les manières simples passent si souvent pour un signe de médiocrité. »
« Pour juger combien nous importunons en parlant de nous, il faut songer combien les autres nous importunent quand ils parlent d'eux. »
« C'est merveille combien peu il faut à nature pour se contenter, combien peu elle nous a laissé à désirer. »
« Combien généreuse est la vie pour l'homme, mais combien l'homme se tient éloigné de la vie ! »
« On dit beaucoup que les femmes sont volages en amour, mais on ne dit pas assez combien elles ont de constance en amitié. »
« Les statues ne font que nommer l'oubli. On n'est jamais plus mort qu'en bronze. »
« Dans la balance de la destinée, le muscle ne pèse jamais autant que le cerveau. »