« On est bien forcé de croire au doigt de Dieu quand on voit comme il se le met dans l'oeil. »
« La télé, c'est l'éphémère; le cinéma, lui, fabrique des souvenirs... »
« Celui qui n'a jamais eu de rage de dents ne connaît pas la souffrance véritable. On a vu des hommes à poigne atteints de cette affection vagir comme des nouveau-nés. »
« Oh ! L'âcre volupté que le danger procure. »
« En matière de crime d'Etat, il faut fermer la porte à la pitié. »
« La solitude n'est pas l'isolement. On est toujours deux en un. Il y a les autres en soi. »
« L'oeuvre d'art possède un impact sur le monde d'aujourd'hui. »
« Les poux, c'est les puces du pauvre. »
« Pour ne pas perdre ses illusions, le mieux c'est d'en avoir le moins possible. »
« Le tort qu'on a, question sexe je crois, c'est de vouloir à tout prix que ça s'harmonise avec la beauté.... L'instinct souvent n'a pas le choix, ça calce alors tordus, torves, abominables dans la sanie, au fond de la fosse. »
« Le cinéaste pense avec les yeux et les oreilles, le peintre avec les mains. La littérature est un refuge. Elle approfondi la vision du monde. »
« La rime est un jupon, et je m'amuse à la suivre. »
« Le cinéma n'a jamais fait partie de l'industrie du spectacle, mais de l'industrie des cosmétiques, de l'industrie des masques, succursale elle-même de l'industrie du mensonge. »
« Sans la pilule ça serait encore un gros péché de tringler hors des liens conjugaux. »