« Ah, vous autres, hommes faibles et merveilleux qui mettez tant de grâce à vous retirer du jeu ! Il faut qu'une main, posée sur votre épaule, vous pousse vers la vie... »
« La violence ou la guerre, entre deux hommes ou deux nations, apparaissent aussi comme une compensation aveugle et insensée à tout ce qui n'est pas vraiment achevé dans la nature humaine. »
« Qui aime la jeunesse, aime la mer. »
« La haine est un sentiment qui ne peut exister que dans l'absence de toute intelligence. »
« Ce sont les discours, préparés qui conditionnent mensonges et dissimulations, non pas ce qui vous échappe spontanément. »
« Si le Créateur n'avait pas tout ordonné pour le mieux, du moins avait-il accordé un don inestimable aux animaux, en les privant de la faculté inquiétante de réfléchir sur l'avenir. »
« Chaque écrivain tout au long de sa vie exprime un seul thème. C'est la nécessité de compréhension, de tendresse et de persévérance dans l'infortune chez des individus traqués par les circonstances. »
« Il est des sentiments que rien ne peut toucher sous peine de corruption. »
« Il vaut toujours mieux essayer que de ne jamais échouer. »
« On ne naît pas vainqueur, on le devient. »
« Les rêves sont le combustible qui alimente le feu du désir. »
« Les ambitieux ne croient jamais que les autres ne le sont pas. »
« Nous avons neuf mois de vie privée avant de naître, ça devrait nous suffire. »
« Adolescent, j'étais pyromane. On m'a placé dans un foyer. »