« Je suis un vieux boudoir plein de roses fanées, - Où gît tout un fouillis de modes surannées, - Où les pastels plaintifs et les pâles Boucher, - Seuls, respirent l'odeur d'un flacon débouché. »
« Mieux vaut respirer que de cueillir les roses,Et les plus beaux jardins sont où l'on n'entre pas. »
« Désespoir, amour, gaieté. Qui a ces trois roses enfoncées dans le cœur a la jeunesse pour lui, en lui, avec lui. »
« Quand les roses fleurissaient, sortaient les filles - On voyait dans tous les jardins danser les jupons - Puis les roses se fanaient, rentraient les filles - Pour passer dans leurs doux écrins le temps des flocons. »
« Et ses yeux n'ont pas vu, présage de son sort, - Auprès d'elle, effeuillant sur l'eau sombre des roses, - Les deux Enfants divins, le Désir et la Mort. »
« Si les êtres mettaient à réussir leur existence la même énergie qu'ils consacrent à persuader les autres, le monde serait un jardin de roses. »
« Anglo-Saxons. Des neurasthéniques aux joues roses. »
« L'immortalité de la rose consiste dans le fait qu'elle est la soeur jumelle des roses futures. »
« L'imagination qui fait naître les illusions est comme les rosiers qui produisent des roses dans toutes les saisons. »
« C'est en croyant aux roses qu'on les fait éclore. »
« Si, comme Alexandre, tu prétends à la vie éternelle, cherche-la sur les lèvres roses de cette ravissante beauté. »
« Il n'y a point de roses de cent jours. »
« Il y a des femmes qui sont comme le bâton enduit de confiture de roses dont parle le poète persan: on ne sait par quel bout les prendre. »
« Les filles sont des roses, les garçons des papillons et les parents les épines qui empêchent les papillons de se poser sur les roses. »