« N'importe qui peut sympathiser avec les souffrances d'un ami. Sympathiser avec ses succès exige une nature très délicate. »
« La relation entre l'écrivain et ses personnages est difficile à décrire. C'est un peu la même qu'entre des parents et des enfants. »
« Il existe deux sortes de combattants. Ceux qui conçoivent des stratégies et ceux qui ne sont jamais départis de la tendance enfantine à briser des objets. »
« Je n'ai jamais assisté à des courses de spermatozoïdes mais j'ai donné beaucoup de départs ! »
« Aucune parole ne précède les vrais départs. »
« Les humains sont le résultat d'un chemin évolutif d'une exquise complexité, plein de faux départs, d'impasses et d'accidents statistiques. »
« L'animosité c'est comme la sympathie, ça se communique sans s'expliquer. »
« Quelquefois, il y a des sympathies si réelles que, se rencontrant pour la première fois, on semble se retrouver. »
« Quand on veut vivre parmi les hommes, il faut laisser chacun exister et l'accepter avec l'individualité, quelle quelle soit, qui lui a été départie. »
« Les vrais départs, les plus tragiques, sont ceux qui n'auront jamais lieu. »
« Notre langage ne vaut rien pour décrire le monde des odeurs. »
« Les mots sont impuissants à décrire certaines émotions. Les plus vrais, les mieux choisis, trahissent le plus souvent la vie. »
« Décrire les passions n'est rien ; il suffit de naître un peu chacal, un peu vautour, un peu panthère. »
« L'antipathie analyse mieux, mais la sympathie seule comprend. »