« Les temps changent. Autrefois, c'était l'homme qui décidait. Il donnait la vie, la femme était comme un frigidaire. Enfin, un frigidaire chaud ! Dont l'homme tirait la poignée ! »
« Ce qu'on appelait autrefois l'âge mûr tend à disparaître. On reste jeune très longtemps, puis on devient gâteux. »
« Plus je me remémore, plus le vécu d'autrefois s'enrichit et se diversifie, comme si la mémoire ne s'épuisait pas. »
« Nous avons toujours besoin de rendre quelqu'un responsable de nos ennuis et de nos malheurs. »
« Autrefois, un roi de Thulé - Qui, Jusqu'au tombeau fut fidèle, - Reçut, à la mort de sa belle, - Une coupe d'or ciselé. »
« Le célibat, on s'ennui... Le mariage, on a des ennuis! »
« Vous ne pouvez pas éviter les ennuis en dépensant plus que vous ne gagnez. »
« Autrefois, le ridicule tuait ; aujourd'hui, il tire à deux cent mille exemplaires. »
« Autrefois, les livres étaient écrits par les hommes de lettre et lus par le public. Aujourd'hui, ils sont écrits par le public et personne ne les lit. »
« Je vis, je meurs: je me brule et me noie, - J'ai chaud extrême en endurant froidure; - La vie m'est et trop molle et trop dure, - J'ai grands ennuis entremélés de joie. »
« Le passé nous fait nous souvenir des gens d'autrefois à qui nous devons ce que nous sommes, à qui nous devons tant d'estime, gens simples, peut-être, mais d'une si grande richesse humaine, bien souvent. »
« Dans les romans d'autrefois, le héros n'embrassait jamais l'héroïne avant la dernière page. Maintenant, il l'embrasse sur la jaquette, avant même qu'on ait ouvert le livre. »
« Le célibat, on s'ennuie... Le mariage, on a des ennuis... »
« Autrefois, on s'instruisait pour soi-même. Aujourd'hui, c'est pour en imposer aux autres. »