« Le monde physique paraît l'ouvrage d'un être puissant et bon, qui a été obligé d'abandonner à un être malfaisant l'exécution d'une partie de son plan. Mais le monde moral paraît être le produit des caprices d'un diable devenu fou. »
« Il vivait de privations. Et encore pas tous les jours. »
« On parle toujours du boulevard des Filles du Calvaire, mais jamais du calvaire des filles du boulevard. »
« Je ne connais rien d'aussi immoral que les fonds secrets si ce n'est les fonds publics. »
« Il faut mettre du sucre partout, arrêtez la sucrette, vive le sucrage universel. »
« La vie contemplative est souvent misérable. Il faut agir davantage, penser moins, et ne se pas regarder vivre. »
« Ce ne sont point les hommes qui mènent la révolution, c'est la révolution qui emploie les hommes. »
« L'importance sans mérite obtient des égards sans estime. »
« Le plus grand ridicule pour une femme, c'est d'être un homme. »
« Le grand avantage des provinciaux, c'est qu'après avoir admiré Paris, ils peuvent le quitter. »
« Elle est très belle... Vue de dos. »
« Le public ne s'intéresse qu'aux succès qu'il n'estime pas. »
« Il n'y a que deux maux bien réels dans le monde : le remords et la maladie ; le reste est idéal... »
« L'Histoire est une conspiration permanente contre la vérité. »