« La guerre, c'est simple : c'est faire entrer un morceau de fer dans un morceau de chair. »
« La télévision fabrique de l'oubli. Le cinéma fabrique des souvenirs. »
« La littérature, c'est souvent du cinéma. »
« Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d'autre chose? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout. »
« Si votre partenaire a des parents, vous les aurez sur le dos, mariage ou pas ! »
« Je pense à présent qu'il faut se conduire toujours en homme du monde avec les putes et souvent en julot avec les bourgeoises. »
« On se goinfre de progrès. En une minute, on peut appeler Bogota. D'abord, c'est faux. Ensuite on ne sait qui appeler ni quoi dire. »
« La télé, c'est l'éphémère; le cinéma, lui, fabrique des souvenirs... »
« Celui qui n'a jamais eu de rage de dents ne connaît pas la souffrance véritable. On a vu des hommes à poigne atteints de cette affection vagir comme des nouveau-nés. »
« La solitude n'est pas l'isolement. On est toujours deux en un. Il y a les autres en soi. »
« L'oeuvre d'art possède un impact sur le monde d'aujourd'hui. »
« Pour ne pas perdre ses illusions, le mieux c'est d'en avoir le moins possible. »
« Le tort qu'on a, question sexe je crois, c'est de vouloir à tout prix que ça s'harmonise avec la beauté.... L'instinct souvent n'a pas le choix, ça calce alors tordus, torves, abominables dans la sanie, au fond de la fosse. »
« Le cinéaste pense avec les yeux et les oreilles, le peintre avec les mains. La littérature est un refuge. Elle approfondi la vision du monde. »