« La ligne droite c'est le bras détendu pour frapper. La ligne courbe, c'est le bras replié pour aimer. »
« Les pires souffrances finissent toujours par se diluer dans l'océan du temps. Et les amours mortes ont un léger parfum de ridicule qui n'arrange rien. »
« La femme seule ne doit qu'à elle-même le compte de ses jours. Elle s'habille pour elle, sort à sa guise, rentre à son gré, dispose comme il lui plaît de son temps, de son cœur et de son téléphone. Elle n'a jamais besoin de mentir, ni d'inventer, et »
« Dans une famille on est tous tributaire les uns des autres. Le malheur de l'un fait le malheur de tous. »
« Les idées nouvelles déplaisent aux personnes âgées ; elles aiment à se persuader que le monde n'a fait que perdre, au lieu d'acquérir, depuis qu'elles ont cessé d'être jeunes. »
« Petite aide fait grand bien. »
« Il n'y a point de société, point de salon, point de mode, point de petits moyens journaliers de faire effet en détail. »
« Les jouissances de l'esprit sont faites pour calmer les orages du cœur. »
« On cesse de s'aimer si quelqu'un ne nous aime. »
« Une femme ne communique jamais si promptement la perversité de son cœur qu'à une autre femme. »
« La poésie est le langage naturel de tous les cultes. »
« Comprendre, c'est pardonner. »
« Pourquoi l'amour ? L'amitié n'apporte-t-elle pas autant, sans en avoir les innombrables défauts. »
« Il y a, dans le sentiment même des regrets, quelque chose de doux et d'harmonieux qu'il faut tâcher de faire connaître à ceux qui n'ont encore éprouvé que les amertumes. »