« Celui qui progresse ne blâme personne, ne loue personne, ne critique personne, n'incrimine personne. Il ne dit rien, ni de son importance, ni de son savoir. »
« La liberté, c'est l'indépendance de la pensée. »
« L'amour, tout comme la mort, est une étape du voyage où on arrive tous, un jour ou l'autre. »
« C'est le fait d'un ignorant d'accuser les autres de ses propres échecs ; celui qui a commencé de s'instruire, s'en accuse soi-même ; celui qui est instruit n'en accuse ni autrui ni soi-même. »
« Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses, ce sont les jugements qu'ils portent sur les choses. »
« Et, si tu bois de l'eau, ne dis pas à tout propos que tu bois de l'eau. »
« Toute chose a deux anses : l'une par où on peut la porter, l'autre par où on ne le peut pas. »
« Les pires souffrances finissent toujours par se diluer dans l'océan du temps. Et les amours mortes ont un léger parfum de ridicule qui n'arrange rien. »
« Les occasions sont indifférentes, l'usage qu'on en fait ne l'est pas. »
« L'écriture : cet éternel dilemme entre la vie et la mort, cette ambiguïté qui rejoint les gens dans leur instabilité la plus secrète. »
« Cherchons nos biens en nous-même, autrement, nous ne les trouverons pas. »
« Dans une famille on est tous tributaire les uns des autres. Le malheur de l'un fait le malheur de tous. »
« Supporte les maux et abstiens-toi des biens. »
« La poésie, puisée en elle-même, n'est rien d'autre qu'un moyen d'expression et de désenvoûtement de la réalité. »