« Les fils ne savent pas que leurs mères sont mortelles. »
« L'embêtant avec l'ironie, c'est que les gens ne saisissent pas toujours. »
« Les villes gâtent tout, elles gâtent même jusqu'aux vertus les plus belles et les plus admirables. »
« Les esprits forts savent-ils qu'on les appelle ainsi par ironie ? »
« Seules les femmes, les mères, savent ce qu'est le verbe attendre. »
« Nos mères sont nos enfants et nous voulons que nos enfants soient nos mères. »
« Le bon sens et l'ironie, en France, sont nés le même jour. »
« Les racines de l'éducation sont amères, mais ses fruits sont doux. »
« Nos actes ne sont éphémères qu'en apparence. Leurs répercussions se prolongent parfois pendant des siècles. La vie du présent tisse celle de l'avenir. »
« Il vaut mieux péter pour tuer le temps, que de médire, de faire des libelles ou de mauvais vers. »
« Je vois des mémères dans les stations de sports d'hiver qui feraient mieux de faire de l'avalanche que du ski. »
« Il y a dans l'aveu public des angoisses du cœur, et de ses voluptés non moins amères, une vanité et une profanation gratuites. »
« Les femmes aussi ont leurs saisons. L'été ne dure pas toujours et après l'été... Ah oui ! Les splendeurs de l'automne ! Mais combien éphémères !! Qui prend le temps de regarder et d'aimer l'automne ? »
« Croire à l'existence d'un fait imaginaire engendre des chimères. Entretenir des chimères provoque des utopies. »